Le ciné-club a la joie de recevoir le réalisateur Bruno PODALYDÈS à l'occasion de la projection de son film "Liberté Oléron":
La projection aura lieu à 20h30 en Salle Dussane et sera suivie d'une discussion avec notre invité.
Venez nombreux !
Le ciné-club, nautique et estival avant l'heure
Avec bien sur la petite bande-annonce.
Après une maîtrise d'audiovisuel, Bruno Podalydes sort son premier long métrage en 1986 Albert Capon Mécanicien, où son frère Denis tient déjà le premier rôle. Bruno débute sa carrière par la réalisation des films d'entreprise pour Air France dans lesquels son frère particpe déjà comme comédien.
C'est en 1992 qu'il crée la surprise avec son court métrage Versailles Rive Gauche qui remporte de multiples récompenses, telles que le prix du Public et mention du Jury à Clermont-ferrand, le prix du Jury et de la critique à Chambrousse et le César du meilleur court-métrage en 1993. Le film bénéficie par ailleurs d'un excellent bouche-à-oreille qui lui permet de séduire un large public.
En 1994, il réalise Voila qui se fait remarquer au Festival de Venise la même année. En 1996, il réalise Dieu Seul Me Voit, toujours avec la collaboration de son frère, une comédie qui reçoit le César du meilleur premier long métrage en 1999. La complicité entre les deux frères s'étend jusuq'à l'écriture, puisqu'ils co-signent Liberté-oléron en 1999.
En 2002, Bruno change de registre en adaptant l'oeuvre de Gaston Leroux Le Mystère De La Chambre Jaune où Denis joue le rôle du célèbre Rouletabille, il est entouré, entre autres, de Sabine Azéma et de Pierre Arditi. Il reste dans l'univers du roman policier de Leroux et adapte en 2005 la suite Le Parfum De La Dame En Noir, avec les mêmes acteurs.
En 2006, il participe au collectif Paris, Je T'Aime et joue dans le film Coeurs d'Alain Resnais. Deux ans plus tard, il réalise et joue dans la comédie Bancs Publics (versailles Rive Droite).
Après une maîtrise d'audiovisuel, Bruno Podalydes sort son premier long métrage en 1986 Albert Capon Mécanicien, où son frère Denis tient déjà le premier rôle. Bruno débute sa carrière par la réalisation des films d'entreprise pour Air France dans lesquels son frère particpe déjà comme comédien.
C'est en 1992 qu'il crée la surprise avec son court métrage Versailles Rive Gauche qui remporte de multiples récompenses, telles que le prix du Public et mention du Jury à Clermont-ferrand, le prix du Jury et de la critique à Chambrousse et le César du meilleur court-métrage en 1993. Le film bénéficie par ailleurs d'un excellent bouche-à-oreille qui lui permet de séduire un large public.
En 1994, il réalise Voila qui se fait remarquer au Festival de Venise la même année. En 1996, il réalise Dieu Seul Me Voit, toujours avec la collaboration de son frère, une comédie qui reçoit le César du meilleur premier long métrage en 1999. La complicité entre les deux frères s'étend jusuq'à l'écriture, puisqu'ils co-signent Liberté-oléron en 1999.
En 2002, Bruno change de registre en adaptant l'oeuvre de Gaston Leroux Le Mystère De La Chambre Jaune où Denis joue le rôle du célèbre Rouletabille, il est entouré, entre autres, de Sabine Azéma et de Pierre Arditi. Il reste dans l'univers du roman policier de Leroux et adapte en 2005 la suite Le Parfum De La Dame En Noir, avec les mêmes acteurs.
En 2006, il participe au collectif Paris, Je T'Aime et joue dans le film Coeurs d'Alain Resnais. Deux ans plus tard, il réalise et joue dans la comédie Bancs Publics (versailles Rive Droite).
Le synopsis
L’appel du large
Liberté Oléron dresse le portrait de Jacques Monot (Denis Podalydès), en vacances d’été sur l’île d’Oléron, avec sa famille : sa femme Albertine qui rêve de son jardin -et un peu trop de son paysagiste-, et ses quatre fils, Nono qui pleure son sous-marin, le deuxième qui participe avec désarroi au club des mouettes sur la plage, « parce que c’est chouette », Anatole qui lit Cyrano, l’aîné acnéique, Benoît, qui n’a d’yeux que pour la voisine Caroline. On le voit, les Monot sont monomaniaques. Chacun a sa petite obsession. Et celle de Jacques, c’est de naviguer. Chaque jour il s’évertue à gonfler bouées et bateaux pneumatiques, rêvant du grand large. Un jour, il se jette à l’eau, en achetant un petit bateau de plaisance d’occase, le Zigomar, rebaptisé Liberté Oléron.
Mais le voilier sèmera la tempête au sein de la famille Monot.
Le décalage entre la modestie du projet et l’ambition épique qui l’accompagne (l’expédition jusqu’à l’île d’Aix), entre les rêves de grandeur et la réalité, porte le film.
Le film était « une façon de montrer comment les familles travaillent à recouvrir les drames ».
Bonne projection !
Julie Malapert